Il interroge le tarot comme un outil de lecture du monde — non pour enfermer, mais pour ouvrir. Ouvrir sur soi, sur l’autre, sur ces directions ténues que l’on pressent mais que l’on peine à nommer. Consulter Benoît Richaer, c’est suspendre le tumulte pour entrer dans un espace d’écoute où le symbole devient langage, et le langage, miroir d’un mouvement intérieur.
Telerama